"Pour avoir rencontré des enfants, ils sont vraiment inquiet par rapport à la poursuite de leur scolarisation. Ils voient bien que tout s'est écroulé autour d'eux et je pense que les réintégrer rapidement dans un cadre scolaire classique serait rassurant pour eux ! Ils ont besoin de repères."
J'ai eu le même sentiment quand j'ai appelé la famille. L'une des premières préoccupation de ma nièce en seconde à Petit-goâve: "comment je vais faire pour finir l'année je n'ai plus d'école"
Faire face au traumatisme va supposer rapidement (une fois l'urgence passée) de remettre en route la scolarisation des enfants. Scolarisation qui constitue un repère et également une opportunité d'apporter des repas par le biais des cantines scolaires.
dimanche 17 janvier 2010
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